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Vivre Plabennec - Commission « ouverte » - Développement durable

Commission « ouverte » - Développement durable

Le développement durable

Maison du Lac -  mercredi 24 octobre 2007 à 20h30

Animateurs : Jean Luc Bleunven, Christian Plassard, Jean Pierre André, Jean Yves Piriou.

Définitions :
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ».
La Conférence de Rio en 1992 a lancé la notion d’Agenda 21 (voir définition sur document annexe 1) qui est un carnet de route pour le 21ème siècle pour mettre en pratique, à l’échelle locale, le développement durable.
Le Ministère de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement Durable (MEDAD) fixe un cadre de référence qui vise 5 finalités :
1-la lutte contre le changement climatique ;
2-la préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources ;
3-la cohésion sociale et la solidarité entre les territoires et les générations ;
4-l’épanouissement de tous les êtres humains ;
5-une dynamique de développement suivant des modes de production et de consommations
responsables.
Le MEDAD offre des labels de Reconnaissance aux collectivités qui suivent ces finalités. En Bretagne, seul le Conseil Général du Finistère l’a obtenu pour l’instant, ce qui est peu.

Si on considère que la finalité 4 a été traitée dans les réunions consacrées au sport et à la culture, et que la finalité 3 sera vue lors de la 4ème réunion du 14 novembre « Inter générations » ; les finalités 1, 2 et 5 seront ciblées lors de la présente réunion.

Introduction :
Vivre Plabennec n’a pas voté les différentes tranches d’aménagement du bourg de Plabennec, car on n’est pas d’accord sur la méthode. Il faut d’abord faire un bilan de l’existant, avoir une vision globale et durable de l’aménagement, cibler tous les problèmes (circulation, trottoirs, …), repenser globalement la vie dans la ville.
L’objectif annoncé par la municipalité a cependant été atteint lors des 4 tranches effectuées : ralentir les véhicules et sécuriser les piétons. Mais ce n’est pas suffisant : les cyclistes sont oubliés, la circulation est toujours plus dense et non fluide, pas de vision avec l’irrigation des quartiers,…

Quel aménagement pour le centre-bourg ? Y a’t’il un problème de circulation à Plabennec ?
(les 2 sujets, très liés, ont en définitive été traités ensemble)

- problème de la déviation du bourg : la municipalité a toujours évacué le sujet, or il faut 10 à 20 ans pour son élaboration ; c’est dire que, si on lance l’idée rapidement, il faudra tout de même aménager le bourg avec ce problème de circulation pendant au moins une décennie.
- la « voie structurante » ceinturant le bourg est faite dans les quartiers pour que les riverains la finance. Ce n’est pas une déviation, mais les camions risquent de l’emprunter avec les gênes qui s’en suivent.
- la création du Collège Public doit permettre de lancer l’idée d’un aménagement global pour les déplacements sécurisés et durables à Plabennec, en particulier des enfants. Les activités sportives de Kervéguen doivent s’y associer.
- une salle de spectacle devrait s’implanter soit dans le centre-bourg (pour éviter les déplacements), soit Callac (mais avec création de voies piétonnes et cyclables sécurisées entre le centre bourg et Arts et Espaces actuel) ;
- il faudrait recentrer certains équipements culturels ;
- pour freiner l’augmentation des voitures, il s’agit d’engager la réflexion sur d’autres modes de déplacements : transports en commun, covoiturage, pédibus, vélo, pied… Il peut y avoir partenariat avec le Conseil Général. La population est « mûre » sur le sujet.
- la gare routière est à développer, les parkings vélos aussi ;
- les 4 premières tranches d’aménagement du bourg ont été financées sur des fonds régionaux FAUR ;
- le projet de 5ème tranche cherche des financements écoFAUR (Région) et FISAC (voir document annexe 2) ciblé sur le commerce. C’est pourquoi l’adjoint chargé de l’urbanisme a fait participer les commerçants par l’intermédiaire de l’ACAP. Mais, si ceci est nécessaire, tout le monde s’accorde à dire que ceci est restrictif. Il faudrait ouvrir la réflexion à tous les utilisateurs du centre-bourg : habitants du quartier, clients des commerces, associations utilisatrices de la salle Bouguen et du Presbytère, commerçants du marché, gens de passage, etc… Alors que l’étude est débutée depuis février 2007, la Commission Urbanisme ne s’est jamais réunie sur le sujet (une première prévue le 29 octobre). Pour un projet essentiel pour Plabennec (le cœur de la ville), les conseillers municipaux, majorité et opposition confondues, ne sont ni informés ni consultés.
- l’étude menée par l’Agence Cibles et Stratégie donne des éléments d’enquête à prendre en compte. Mais, selon la présidente de l’ACAP, c’est cette même Agence qui a raté la 4ème tranche, donc méfiance... L’ACAP a été consultée mais ne possède actuellement aucun projet d’aménagement.
- l’ACAP souhaite d’autres emplacements commerciaux au centre-bourg.
- La commune de Gouesnou, par exemple, a créé une halle commerciale.

Quel développement pour l’habitat ?
Le PLU prévoyait un plafond de 60 permis de construire accordés par an. Or 150 ont déjà été autorisés cette année. C’est dire que l’intention de freiner la construction n’est pas suivie d’effets. Mais la croissance de la population ne suit pas l’augmentation du nombre de maisons, car la moyenne d’habitants par maison diminue.
Il y a un problème d’accès au logement actuellement à Plabennec.
Pour orienter vers la mixité sociale, il faudrait un marché de location multiplié par deux. Il faut offrir des alternatives, par exemple créer une part de logement social public dans des bâtiments communaux.
Le développement durable implique la mixité sociale et le bâti écologique. Il faudrait donc des habitats à la fois à Haute Qualité Environnementale et accessible à toutes les bourses et pour toutes les générations. Un plan local de l’Habitat et une Charte de l’Habitat pourraient être des outils pour cela.
Des réserves foncières permettraient de s’engager dans ce genre d’habitat durable. L’Etablissement Public Foncier, que va créer le Conseil Régional, devrait permettre d’aller dans ce sens.

Que faire pour l’environnement rural ?
La Commission « Environnement et secteur rural » actuelle du Conseil Municipal a 2 activités principales : traiter les demandes de régularisations ou extensions d’élevages (mais il n’en reste presque plus) et prévoir un plan de bitumage des routes communales de la campagne.
Or il existe beaucoup de possibilités :
- recréer des chemins ruraux (échanges de terre grâce à réserves foncières et révision du PLU) ;
- aider les associations compétentes à entretenir les zones naturelles (objectifs : maintient de la biodiversité, tourisme vert et charte paysagère) : captages de Locmaria, bois, talus, haies, zones humides, rivières,…
- grâce à une politique foncière, aider les jeunes paysans à se lancer dans des types d’agriculture durable.

Le projet de parc éolien entre Plabennec et Le Drennec doit être l’occasion pour la commune de négocier avec le promoteur des créations de chemins reliés, l’implantation de panneaux photovoltaïques sur certains bâtiments communaux, d’aider à promouvoir les énergies renouvelables.

La commune peut influencer des repas bio dans les cantines des écoles publiques.
Le Collège Public devrait être l’occasion de mettre en place des modes de chauffage durable, en particulier le bois, avec développement d’une filière.

Jean Yves Piriou


Document annexe 1 AGENDA 21 LOCAL

Définition
Qu’est-ce qu’un agenda 21 local ? L’agenda 21 local est " un projet stratégique pour le 21ème siècle pour un territoire restreint ". Accompagné d’un programme d’actions transversales, il constitue la mise en œuvre concrète du développement durable sur la commune ou la communauté de communes. L’agenda 21 local est aussi une démarche participative et de progrès animée par la collectivité territoriale.
Quelle est l’origine de l’agenda 21 local ? C’est en 1992, à Rio, lors de la conférence mondiale que les 178 pays présents adoptent la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement durable et s’engagent dans un programme d’actions pour le 21ème siècle, dénommé Action 21. Partant du principe que sa mise en œuvre n’a de sens que par l’action, ils reconnaissent le rôle déterminant des autorités locales. Le chapitre 28 d’Action 21 " Initiatives des collectivités locales à l’appui d’Action 21 " recommande de concevoir, à l’échelle de la collectivité locale, un programme global d’actions transversales pour le 21ème siècle : l’agenda 21 local.
Les 5 finalités du développement durable pouvant être traduites dans l’agenda 21 local ?
Lutte contre le changement climatique et protection de l’atmosphère ;
Conservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources ;
Cohésion sociale et solidarité entre territoires et entre générations ;
Epanouissement de tous les êtres humains ;
Dynamique de développement suivant des modes de production et une consommation responsables.
Les actions locales : L’Agenda 21 se traduit par un programme d’actions locales visant à améliorer la qualité de vie des habitants, économiser les ressources naturelles et renforcer l’attractivité du territoire. Il est porté par la collectivité et mené en concertation avec tous ses acteurs : élus et personnels, habitants, associations, entreprises, structures déconcentrées de l’Etat, réseaux de l’éducation et de la recherche… Au niveau particulier de l’Urbanisme, l’Agenda 21 doit se traduire dans le Plan d’Aménagement et de Développement Durable (PADD) qui a pour objectif de décliner les orientations stratégiques du Plan Local d’Urbanisme (PLU).
Reconnaissances et appuis
Le Ministère de l’Ecologie et du Développement Durable a mis en place des Comités Régionaux
« Agenda 21 » pour accompagner les collectivités dans leurs projets de Développement Durable.
La DIREN et l’ADEME peuvent intervenir financièrement pour l’élaboration des projets en vue de
leur reconnaissance ministérielle (durée de 3 ans). L’Union européenne, l’Etat, la région,
les départements et les partenaires privés peuvent être des partenaires financiers de l’agenda 21
local. Les actions de l’Agenda 21 local peuvent être financées à travers la charte du pays de Brest
ou directement par un projet d’agglomération au sens de la LOADDT.
Quelle est la valeur ajoutée d’un agenda 21 local ?
L’agenda 21 local donne à la collectivité territoriale un cadre de référence transversal pour interroger ses politiques, ses actions, ses projets et ses pratiques au regard du développement durable et mieux guider l’action sur le long terme. Il constitue un processus d’amélioration qui lui permet à la fois de développer une approche globale de management, de favoriser une meilleure cohérence entre des actions sectorielles et les moyens engagés et de maîtriser les dépenses publiques.
L’agenda 21 local encourage une dynamique sur le territoire. Il pousse notamment la collectivité à s’ouvrir davantage à la population et aux autres acteurs du territoire pour faire émerger de nouvelles idées, de nouveaux projets ou de les enrichir. Une approche coopérative sera recherchée, fondée sur des choix concertés, des compromis ou des arbitrages.


AGENDA 21 LOCAL
Méthode
Quelles sont les étapes clés d’un agenda 21 local ? L’agenda 21 local repose sur une démarche volontaire de la collectivité locale qui se traduit par un engagement politique (délibération).Les étapes de l’agenda 21 local correspondent aux étapes classiques d’une démarche de projet. Elles peuvent se décomposer en : -l’élaboration d’un diagnostic ; -la définition d’une stratégie de développement durable, comprenant une phase de sensibilisation et de formation au développement durable des employés municipaux et de la population, puis une concertation globale ; -l’élaboration du projet qui décrit les objectifs à court, moyen et long termes, les méthodes et les moyens d’actions proposés, les acteurs et les partenaires impliqués ; -la mise en œuvre des actions ; -le suivi avec des critères d’évaluation choisis et un comité élargi.
Quelle organisation interne pour élaborer et mettre en œuvre un agenda 21 local ? Création d’un comité de pilotage transversal piloté par une mission développement durable ou un responsable agenda 21. Pour plus de légitimité, cette mission est rattachée de préférence à la direction de services ou directement à l’élu en charge du développement durable lorsqu’il est nommé.
Quels sont les domaines d’actions concernés par un agenda 21 local ? Les champs d’actions d’un agenda 21 local sont issus des grandes orientations définies dans le programme d’Action 21 adopté à Rio. Ils recouvrent les thèmes du développement durable, c’est à dire le développement économique, la politique sociale, l’environnement, la gestion économe des ressources, le tourisme, les transports, le logement, l’éducation, la culture, la coopération internationale… et concerne tous les domaines de compétence de la collectivité. L’agenda 21 d’initiative locale porte sur certains thèmes définis comme prioritaires par les décideurs en concertation avec les acteurs du territoire. En général, l’échelle d’une commune, ils visent à améliorer la qualité de vie des habitants, à économiser les ressources naturelles et à renforcer l’attractivité du territoire.
Exemples d’actions dans l’Agenda 21 :

Urbanisme-mobilité :
- politique de l’habitat appuyée sur la haute qualité environnementale (HQE) ;
- valorisation ou réhabilitation de l’habitat existant et reconquête des espaces disponibles ;
- convivialité de quartier par des aires communes de détente ;
- utilisation de ressources renouvelables et maîtrise de l’énergie ;
- offre de transports en commun et développement du co-voiturage ;
- développement de voies cyclables et piétonnes adaptées aux handicapés.

Socialité-Mixité :
- création d’activités répondant à la demande sociale locale ;
- soutien aux nouvelles filières d’emplois qualifiants et durables ;
- favoriser la mixité (âges, catégories sociales) dans l’habitat et les activités ;
- maintien des activités commerciales locales ;
- favoriser les animations ouvertes à tous.

Paysage-Environnement :
- définition d’une clause « environnementale « dans la passation des marchés ;
- valoriser les espaces publics et espaces verts urbains ;
- réhabilitation des paysages urbains ou péri-urbains ;
- sauvegarde, entretien et valorisation des espaces naturels ruraux ;
- réduction des déchets à la source ;
- amélioration et protection de la qualité de l’eau ;
- réduction des nuisances sonores.


Document annexe 2 Aménagement du centre-bourg de Plabennec (place du champ de Foire et alentours)

Consultation du dossier FISAC en mairie
(par Jean Yves Piriou)

1/ Un comité de pilotage ciblé et restreint :
Alors que le conseil municipal a voté un budget d’étude préalable à l’aménagement du centre-bourg, seul un groupe restreint a été formé pour orienter cette étude. Il est formé (avec l’aval du maire), autour de Philippe Omnès, adjoint à l’urbanisme, des directeurs des services municipaux Grégory Breton et Yves Madec, de 5 membres de l’Amicale des Commerçants et Artisans de Plabennec (ACAP), de 2 représentants de la CCI et de l’Agence Cibles et Stratégies chargée de cette étude.
Paradoxalement, la commission Urbanisme du Conseil Municipal n’a été ni consultée ni informée entre janvier et septembre 2007. Ni d’ailleurs la population utilisatrice du bourg (habitants, clients, promeneurs, associations utilisatrices de la salle Marcel Bouguen et du presbytère, etc…)
L’adjoint à l’Urbanisme a ciblé sur la CCI qui apporte un budget dans cette opération par l’intermédiaire du Fonds d’Intervention pour les Services de l’Artisanat et le Commerce (FISAC). Ce fonds de la CCI permet de financer à 50% les études et 20% les travaux réalisés par la commune et destinés au commerce local. La Région peut aussi intervenir par Eco FAUR pour les études.
Ce Comité de pilotage s’est réuni 6 fois entre février et juin 2007, dont 2 fois de manière élargie à d’autres commerçants riverains.

2/ Analyse de l’environnement commercial :
L’Agence Cibles et Stratégie a exposé le bilan de son étude le 26 février 2007.
Alors que la population de Plabennec augmente de 8% entre 1999 et 2005, l’offre commerciale de Plabennec stagne à 75 commerces et services. L’attractivité commerciale du Champ de Foire est inférieure aux autres pôles commerciaux malgré une offre de stationnement correcte (200 places dans l’îlot central et 160 au Super U). Les meilleurs jours d’activité commerciale sont le mardi et le vendredi, jours de marché.
Plabennec possède 2 handicaps : la proximité de Brest et les problèmes liés au trafic routier.

3/ Image et perception du pôle commercial de Plabennec :
L’enquête donne 2 aspects :
- positif : les atouts du commerce sont la diversité, la proximité, la sécurité des piétons ;
- négatif : manque de visibilité de l’offre (éclatement), manque de personnalité, difficulté d’accès aux commerces, certaines offres absentes (sport, librairie,…), pas de bonne ambiance d’achat, pas de continuité commerciale.

4/ Attentes des commerçants :
- Réduire la vitesse des véhicules ;
- Bénéficier d’une ambiance d’achat plus agréable ;
- Elargir l’espace devant les commerces ;
- Conserver la physionomie historique de la Place du Champ de Foire ;
- Donner 2 fonctions à cette place : Stationnement et Convivialité ;
- Rendre le centre ville plus chaleureux afin d’en faire une place de village.

5/Propositions du Cabinet d’étude :
Améliorer l’identité de ville, l’offre commerciale et l’accessibilité :
- adapter l’offre et l’identité du centre ville aux exigences nouvelles d’une clientèle nouvelle et
moins fidèle ;
- permettre l’implantation de nouveaux commerces en particulier autour de la place du Champ
de Foire ;
- améliorer l’attraction de l’offre commerciale ;
- améliorer la gestion de l’offre de stationnement ;
- repositionner la place du Champ de Foire comme un cœur de ville et comme un trait d’union
entre Super U et linéaire commerçant ;
- optimiser le plan de circulation pour mieux irriguer l’espace et rationaliser les flux ;
- améliorer les façades des commerces.

Aménagement urbain préconisé :
- marquer l’entrée du centre ville côté Lesneven (rond point) ;
- le magasin Caténa souhaitant se déplacer côté Intermarché, réorganiser dans ce cas
l’urbanisme de la Place du Champ de Foire et créer de nouvelles cellules commerciales ;
- créer une liaison piétonne entre Super U et place du Champ de Foire ;
- végétaliser la place entre chemins piétons et voies de circulation ;
- Conserver le positionnement du marché ;
- Conserver la gare routière en l’agrandissant soit par îlot central agrandi soit arrêt
supplémentaire à la place de la maison abritant le Secours Catholique ;
- améliorer les façades et enseignes (subventions FISAC 20% et commune 20%) ;
- pas de tourne à gauche rue Maréchal Leclerc ;
- zone bleue sur une partie de la Place pour favoriser la rotation du stationnement ;
- garder la possibilité de stationnement de 20 camions ;
- conserver un stationnement « minute » devant les commerces.

Point restant en réflexion :
- création d’une boucle de contournement autour de l’îlot central par la rue du Penquer et la rue Marcel Bouguen.

Point important non-retranscrit, voire non-abordé :
Une déviation de la circulation en dehors de la ville.
(On peut supposer que ce fût un préalable imposé par le maire et l’adjoint)